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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Ça sentirait pas le sapin chez VAN HALEN là ?
Car en dehors de courtes charges d’intensité acceptable (Hang’em high, exhumation d’un vieux titre démo certes détonnant, The Full bug, Little guitars et Secrets à la limite), on a clairement l’impression d’avoir à faire à un fourre-tout même pas drôle pendant cette demi-heure que le précédent album 1 n’annonçait pas, ou presque vu le côté inhabituellement sombre développé alors.
Des reprises (Where have all the good times gone ? des KINKS, cool, (Oh) Pretty woman de Roy Orbinson, single déclencheur de l’album et pourtant un vrai massacre où l’espièglerie de l’original a totalement disparu, le titre Motown multi-repris Dancing in the street, le jazz trad Big Bad Bill (is Sweet William now) avec Papa Van Halen à la clarinette, argh, et, a cappella, un insupportable Happy trails, surtout connu comme jingle radio aux États-Unis…), des instrumentaux forcément virtuoses mais pas forcément passionnants (Cathedral, Intruder…).
Un album enregistré à l’arrache, pas forcément dans une ambiance cordiale, mais le pire est sûrement à venir… Quel dommage…
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Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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