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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Le départ de David Lee Roth, après un essai solo qui en disait long 1,
oblige VAN HALEN à recruter un nouveau chanteur chevronné, c’est chose faite à l’été 1985 avec l’arrivée de Sammy Hagar (ex-MONTROSE mais aussi auteur d’un gros paquet de disques solo), bonhomme qui se caractérise par une voix peut-être plus chaude et bluesy que son prédécesseur.
Ce qui ne l’empêche pas de - brillamment - singer parfois ses pitreries tandis que le groupe peut sortir l’arsenal qui a fait son succès (Good enough, le très speed Get up, le guilleret Summer night, 5150…) ou continuer sur la voie hard pop de 1984 (Why can’t this be love, Dreams, Love walks in, Inside, certes solides mais sacrément sucrés…), carrément moins notre truc, heavy-demment. Le titre Best of both worlds (pas le morceau, bien rock pour le coup) aurait été plutôt adéquat pour coiffer l’album dans son ensemble.
Malgré le changement de line-up et un résultat parfois déstabilisant pour les fans des débuts de la formation de Pasadena, en tout cas très typique des années 80 des fans de synthétiseurs et des batteries du même acabit, l’album est une fois de plus un carton.
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Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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