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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Que veux-tu, le quintet magique AC/DC ne sort exclusivement que des tueries absolues en ce milieu des années 70,
la preuve encore une fois avec ce troisième brûlot (australien) qui contient, outre une pochette des plus cartoonesque, des classiques absolument imparables comme le morceau-titre, le génial Jailbreak, l’hilarant et légèrement grivois Big balls, le poignant Ride on, la paire Ain’t no fun / There is gonna be some rocking, le costaud Problem child, Squealer… Mais aussi le très rock’n’roll (inédit en Europe) Rock in peace. Une version européenne ( puis mondiale avec sa sortie aux Etats-Unis en 1981) sort presque en parallèle, on en reparle ici bientôt. Mais c’est celle-ci qu’il faut absolument avoir, comme tous les albums Albert Productions du groupe.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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