Chroniques vinyles
05
Aoû
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Steve Vai et Billy Sheehan soudain partis s’occuper de leurs oignons respectifs,

David Lee Roth se voit contraint de recruter. Le fidèle batteur Gregg Bissonette est rejoint par son frangin Matt à la basse tandis qu’entrent dans la danse les guitaristes Jason Becker et Steve Hunter, le claviériste Brett Tuggle conservant sa place. Le producteur Bob Rock (KINGDOM COME, THE CULT, MÖTLEY CRÜE…) est choisi pour enregistrer un album qui avait la lourde tâche d’égaler un album précédent 1 vendu à plus d’un million d’exemplaires aux États-Unis.

Ce sera, tuons le suspense dans l’œuf, chose faite. A little ain't enough parvient-il pour autant à rester au niveau musical de Skyscraper ? Oui et non. Si la formation arrive à reproduire ce cocktail détonnant entre hard groovy et FM clinquante (par exemple avec A lil’ ain’t enough, Drop in the bucket ou Shoot it), on n’échappe pas à des des sucreries radio rock dispensables telles que Tell the truth ou Sensible shoes. Et ce piratage d'AEROSMITH nommé Last call !

Pourtant, la folie ambiante fait son effet, Diamond Dave est toujours sur le pont quand il s’agit d’ouvrir les festivités…et les faire durer ! On aime ou on aime pas, c'est vous qui voyez ! 

1 : pour lire les chroniques de tous les disques précédents, clique donc sur https://www.nawakulture.fr/index.php/rechercher?searchword=david%20lee%20roth&ordering=newest&searchphrase=exact&limit=20.    

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