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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
L’habit fait-il le moine ? En l’occurence, pour ce deuxième album de JUDAS PRIEST de 1978, oui.
Le look cuir et clous ayant finalement été adopté au sein de la majorité du groupe, le style poussant toujours plus vers le heavy metal sombre et énergique, on peut, oui, parler de Killing machine car la tracklist a la globale tendance à botter du cul par boîte de douze : Delivering the goods (formidable morceau d’ouverture, à la fois furieusement metal et entraînant à souhait avec ce refrain fédérateur), le speed boogie Rock forever, l’hymne total et absolu Hell bent for leather 1, Running wild (headbanging machine s’il en est !), les très heavy Burnin’ up, Evil fantasies et Killing machine, argh, quel menu dantesque !!
Bon, le refrain guilleret d’Evening star nous laissera plutôt de glace, le moyen Take on the world nous ferait presque le même effet sans la constante double bombe menaçante et la ballade Before the dawn n’est pas vraiment du genre marquant, pour le reste, rien à redire pour un album de chevet de votre non-serviteur, ça tue comme promis !
1 l’album sortira d’ailleurs sous ce titre aux USA : afin de lire plein d’autres chroniques sur le groupe, clique juste sur son nom en rouge.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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