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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Au faîte de sa carrière, Ted Nugent assène un double live légendaire à ses fans !
Enregistrés entre juin 1976 et novembre 1977 aux Stazunis, onze titres sont disposés sur les quatre faces noires de ce monument.
Cela peut paraître peu mais les versions de certains morceaux sont heavy-demment allongées, Stranglehold et Motor City Madhouse dépassent en effet les dix minutes de décibels tandis qu’Hibernation (datant de l’époque AMBOY DUKES dont on peut aussi écouter le Great white buffalo) approche carrément du quart d’heure.
Donc s’attendre bien sûr à une quantité étourdissante de guitare déchaînée prenant appui sur une section rythmique d’une solidité à toute épreuve, le chant se chargeant quant à lui de galvaniser la foule qui hurle autant par peur que par extase tant les festivités se font orgiaques malgré un bonhomme notoirement straight-edge.
Outre les fabuleux tubes de ses trois excellents premiers albums, on a droit à une reprise électrocutante du Baby please don’t go (aussi pratiquée à l’époque DUKES) mais aussi des morceaux inédits noundidiou : Yank me crank me et Gonzo, monsieur Ted est trop bon !
Enfin avec son public puisqu’une partie du groupe prend la porte, en l’occurence Derek St. Holmes et Rob Grange (marre de ne jamais figurer sur les photos peut-être ?).
« Si c’est trop fort, c’est que t’es trop vieux » se serait un jour écrié Ted Nugent, c’est bien la seule chose dite par le bonhomme avec laquelle nous serons d’accord.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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