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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Ah ben les voilà les trois cache-poussière dans lesquels y avait trois balles !
Pour le reste, le programme est le même que celui de l’édition du pendu 1, ZE bande originale écrite et dirigée par Ennio Morricone, quoiqu’on puisse en citer tant d’autres parmi nos préférées… Impossible en tout cas de ne pas se refaire tout le film tant les scènes collent avec le ton, parfois sinistre, parfois rigolard, parfois dramatique, que le compositeur leur a donné à la vision des images elles aussi mythiques de Sergio Leone.
Et grâce au Diable, ces trois cowboys n’étaient pas là pour envoyer ad patres un genre moribond comme d’aucuns le qualifiaient, mais bien pour se faire proprement fumer par un personnage patibulaire dont ce n’était qu’un des crépuscules, nombreux dans cette vie de violence, et la Révolution était sur le point d’arriver pour fêter ça ! Qu’est-ce qu’on viendrait y foutre au beau milieu ? Eh bien rêver, se marrer et pleurer, mais en plus beau que dans la vraie vie !
Et Morricone n’y serait, encore, pas étranger.
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Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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