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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Vite, question de vie ou de mort !
Chercher dans les rayonnages quelque chose de violent, de rapide, de brutal, de cru, ben tiens, pourquoi pas les bordelais de GASMASK TERRÖR ?! Du lapidaire mais du profond (les paroles sont imprimées sur la couvrante ouvrante, on a aussi un insert photocopié explicatif pour ceux que ça intéresserait de lire).
Et on n'a jamais trouvé mieux que le fameux beat de DISCHARGE pour accompagner les diatribes et pour mettre le feu à un corps amorphe et le transformer illico en machine à tout péter dans la seconde. Et si, certes, les traditions doivent à coup sûr disparaître, celle-ci n'a pas intérêt à le faire !
Tant qu'il y aura des groupes de cette trempe, tant qu'il faudra se fader des journées qui ressemblent à s'y méprendre à des agonies miniatures, il faudra de la terreur et du masque à gaz, des enceintes qui vibrent comme si la dernière seconde était là, des tympans qui saignent et des murs qui suent !
Et on ne remerciera jamais assez le groupe de se plier aux traditions (tiens ?!) puisqu'à la démo et au EP règlementaires succède un splendissime 33-tours au visuel qui déglingue les rétines des yeux, c'est presque trop beau, si ce n'était pas la vraie vie, on y croirait presque. ARGH !
Trêve de pessimisme extrême, just appuie PLAY and shut the fuck up.
Putain de groupe, putain d'album, putain de claque, putain de putain ! Bordel !
Deux tirages de 500 exemplaires et pis s'en alla.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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