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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
La bonne idée que voilà !
Sentant qu’il était peut-être temps de frapper un grand coup et de vraiment fêter l’osmose miraculeusement revenue entre le groupe et Dave Lombardo, SLAYER rejoue Reign in blood dans son intégralité le 11 juillet 2004 comme s’il avait été enregistré la veille, ça pète dans tous les sens avec un montage vidéo mortel, alternant les prises de vue venues de partout dans la salle, le noir et blanc et la couleur, les images de scènes et celles de la fosse, le pied total avec un son tout à fait mortel, sans oublier le post scriptum contenant quelques-uns des hymnes les plus importants de l’histoire du groupe pour compléter une setlist qui ne pouvait durer trente minutes sans quoi sinon ça allait chauffer, dans l’ordre War ensemble, Hallowed point, Necrophiliac, Mandatory suicide, Spill the blood et South of heaven, on ajoute à cela SLAYER in their own words (18’), une biographie / conversation intercalée d’interventions sauvages de fans du groupe où est abordée entre autres l’idée de cette pluie de sang dont ils avaient toujours parlé et que, précision d'expert, un des films Blade avait ravivée. Tout bien réfléchi après cet échange hilare, pourquoi Jeff y avait-il donc échappé ? Devait-on y voir un signe ? Peut-être n'était-il déjà plus tout à fait là ?
Dans le boîtier on tombera aussi sur un bien dispensable livret de seize pages avec la dose de photos, pas plus.
Joli cadeau pour les fans encore (ça fait une belle série depuis 2003 entre War at the Warfield et Soundtrack to the Apocalypse) mais si on peut se permettre une petite question là comme ça… Le nouvel album, c’est pour quand ? Hein ?!
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