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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Tout ce qui est estampillé de ce logo légendaire. Tout.
Un disque, un DVD voire pire. Ouais, genre ton mug là sur la table. Il n’est en fait pas possible de laisser un MAIDEN dans un bac ou sur un rayon depuis le choc Killers il y a presque vingt-cinq ans. C’est un aveu en même temps que l’horrible vérité d’un junkie. Et ce disque, même sans véritable pochette maidenienne (Derek, reviens putain !) et avec une photo en lieu et place d’Eddie, ne fait pas exception à la règle. Et puis pour ceux inconscients qui n’aiment pas les albums live il fera une excellente introduction à l’univers du groupe de 1980 à 2003 et l’album Dance of Death. Album qu’il faudra d’ailleurs tenter de redécouvrir vu que Paschendale et Rainmaker ouvrent le bal et ne font pas forcément si pâle figure que ça, on aime juste moins cette relative douceur générale qui fera toujours regretter les années 80 et leur mitraillage en règle la plupart du temps. Vingt-sept titres remasterisés sur deux CDs et rien de plus, compilation - pour le marché étatsunien - basique mais toujours le même plaisir d’avoir MAIDEN pendant deux heures dans les oreilles. Groupie, ouais, possible. Mais surtout constat d’une passion proportionnelle à l’immense talent de Steve Harris et sa bande, pour arrêter faut du patch, pourquoi pas vapoper (e-fumer de la pop électronique en bouffée à la fraise) tant qu’on y est ? UP THE FUCKING IRONS FOREVER !
PS : quand on regarde la poignée de photos on se dit que le groupe, un poil ingrat pour le coup, a oublié de faire figurer le line-up avec Blaze Bayley dans le rachitique livret et on doute que ce soit dû à une alzheimerisation générale. Pô bien.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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