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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Mon petit pote si tu croyais avoir enduré un véritable enfer en subissant les vocaux de Michael Kiske chez HELLOWEEN, voilà qui remettra tes croyances à leur place.
En effet, Andre Matos (ex-VIPER pour les bacasoldophiles) ferait passer Bruce Dickinson pour une basse.
Ce premier album concocté par un groupe aguerri et entouré par une impressionnante troupe de mercenaires (au hasard Sasha Paeth, Charlie Bauerfeind, Alex Holzwarth, Kai Hansen...) surprend par la justesse de cette alliance alors toute neuve entre heavy / speed metal et musique classique, ajoutant à tout ça une touche percu tribale inhabituelle et bien foutue.
Avant de hurler au scandale devant une abondance de claviers plutôt obligatoire, que l'auditeur sache que les morceaux restent lourds et réellement metal, laisse traîner une oreille sur cette section rythmique terrible, écoute-moi donc ces riffs qui déboîtent gravement sur Carry on ou Evil warning. La voix, il est vrai, reste l'écueil sur lequel s'écrase le vaisseau de ma patience (aaargh cette reprise de Kate Bush est mortelle, eurk...) ceci dit un charme indéfinissable empêche la partie de curling qui échoit souvent aux CDs coupables de ce genre de particularités.
Le son énorme, le talent des compositeurs, blablabla.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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