Chroniques CD
02
Aoû
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Un jour de malchance, un bout de peau de bite s'aventura hors de chez lui.

A peine une seconde plus tard était-il mordu jusqu'au sang par une fermeture éclair d'humeur maussade. Je pense que ce jour-là, j'ai poussé une gueulante à la King Diamond, du genre castrat électrocuté.

Ceci à part que l'homme au maquillage est lui un formidable chanteur, qu'on ne le supporte ou pas. Accompagné comme Alice Cooper ou Ozzy Osbourne par des musiciens toujours triés sur le volet et capables du meilleur, le sieur commet à son départ du fameux MERCYFUL FATE une poignée d'excellents albums dont celui-ci qui comporte forcément son lot de cris suivant un membre coincé dans une porte et de heavy / speed metal sombre et inspiré par l'horreur littéraire et cinématographique, d'où encore une fois un concept comme le précédent opus, Abigail.

Cette réédition remasterisée n'apporte pas forcément grand chose mis à part les bonus tracks Phone call (inédit), The Invisible guests et Bye bye Missy (tous deux en version démo instrumentale) et un texte à propos de l'album par Don Kaye. Putain d'album quand même.

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