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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Même si ça sonne généralement granuleux, et parfois même râpeux,
on décèle chez cette bande de musiciens talentueux une bonne dose de sensibilité, ne serait-ce qu’en goûtant la mélancolie de ce violon essentiel - et très en avant - dans l’alchimie du FUGU qui fait aussi se bousculer rugosité (post) rock, basse ronflante à la MAIDEN (Dead march) pendant que la gratte tronçonne les feuilles et rappelle étrangement les bordelais de SPINA sur 50 ways to kill your lover, sonorités forcément APOCALYPTICAtionnantes et effluves GOBLINisantes... Une sorte de bande originale quasi « stoner » (si l’on supporte l’inconcevable d’une appellation du plus strict non-sens) par son relatif psychédélisme, super-variée et addictive d’un giallo contemplatif et touchant dont la fin serait abrupte comme celle d’un Lenzi millésimé, pas besoin d’Insistation, seize minutes et puis s’en vont, hop. Vivement la suite, genre sur cire noire, ou sur planches, c'est sûrement encore mieux.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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