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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
EASYBEATS, AC/DC, ROSE TATOO...
Mais quel pays que l'Australie ! Autre exemple notable du doigté australien en matière de rock'n'roll, les ANGELS (ou ANGEL CITY pour éviter la confusion avec le groupe amère-loque ANGEL), en activité sous divers noms depuis 1970, débarquent au studio de l'inébranlable paire Vanda / Young et accouchent pendant l'année 1976 et le début de la suivante, juste après la première partie de l'AC/DC de Bon Scott, d'un premier album qui donne un aperçu plutôt sympathique de leur univers, du rock poppy aux guitares qui se peuvent être plombées quand il le faut mais subtiles et douces la plupart du temps. On ne louera jamais assez le chanteur Bernard « Doc » Neeson (R. I. P.) pour une voix unique et malheureusement, et injustement, méconnue car pas si éloignée de celle du Bon Scott dans ce côté vénéneux / grivois quand il le faut même si le meilleur est encore à venir. Cet album, en particulier grâce au single boogie Am I ever gonna see your face again qui sort un peu avant ce disque, va plutôt bien marcher même si le groupe cherche encore ses marques, on ressent encore trop fortement les influences pop, folk (on croirait parfois avoir affaire aux POGUES), blues (entre autres avec Goin' down, la reprise du bluesman Don Nix), pub rock ou country dans une recette que l'on sent bien plus aboutie sur des rockers comme Shelter from the rain, High on you ou le You got me runnin' qui annoncent à leur façon une évolution vers un rock hard riff-based qui va faire la différence direct ! A suivre !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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