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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
On se demande parfois ce qui passe par la tête du facteur hein ?
Car enfin c’est de funk que l'on doit causer ici et comme chez Nawakulture on n’est pas un sale voleur / profiteur comme beaucoup qui collectionnent les promos pour les revendre sans jamais en parler, voici donc ce que l’on a ressenti à l’écoute.
Ancien batteur, on a toujours trippé sur le groove des choses, le metal et le punk n’en étant pas forcément toujours dépourvus. Avec KINDA, forcément, c’est l’argument numbeur ouane because la formation de neuf (!) musiciens a pris ses influences dans tout ce que les années 70 et 80 ont eu de vedettes entre soul et rythme, rappelant à l’auteur de ces lignes, obsédé de cinéma, les bandes originales de la blaxploitation ou de séries cultes comme Starsky & Hutch (Lalo Schifrin = dieu).
Du coup, si on est loin d’être fan des morceaux les plus langoureux (Let me…), on avouera que des Hands up, Get well ou Party, jamais très loin du répertoire funkasexy et cuivré du James Brown époque Maceo Parker, des vieux EARTH, WIND & FIRE et consorts, sont les meilleurs moments de ce premier album, ainsi que Six million dollar man aux faux airs de B. O. pirate d’un James Bond version Shirley Bassey. Avis aux amateurs !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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