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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
[Publié à l’origine dans Abus Dangereux N°141]
Depuis ses débuts en 2007, le groupe a toujours voulu enregistrer ses albums au plus près de leur rendu live, il semble avoir atteint ses objectifs avec Pretty years, le petit quatrième qui fait dans la grande variété de climats, entre pop douce et indie rock, avec des touches de punk total furibard (jette juste une oreille au furieux Beam tiens !).
Les fameuses « jolies années » du titre sont celles que le chanteur / guitariste Joseph D’Agostino craignaient de voir disparaître trop rapidement lors de la tumultueuse vie en tournée, mais le constat laisse à penser que celles à venir sont peut-être plus belles encore, c’est du moins l’espoir que l’on devine derrière des compositions possédant un vrai souffle dans ce sens, en particulier le très beau Well avec son piano très emballant.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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