|
Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
On ne peut cesser notre propagande pour un des groupes français les plus captivants de ces dernières années,
DÄTCHA MANDALA est sur disque comme sur scène (attention : nitroglycérine totale) un trio émérite. Et il s’amuse en plus à ne pas se répéter, à se réinventer. Parfois dans un esprit assez proche des excellents THE DARKNESS (Janis, la soul hard est de sortie avec un chant exceptionnel en tête de proue pour un hommage superbe) qui eux aussi exhalaient avec talent et le plus grand respect les vapeurs Seventies les plus légendaires, DÄTCHA MANDALA joue les caméléons : évoluant parfois dans un domaine que se partageraient gentiment Elton John, THIN LIZZY et QUEEN (I & You), parfois entre les WHO, LES VARIATIONS et LED ZEP (Hit and roll, énorme !), tutoyant constamment l’univers gigantesque des BEATLES, ces musiciens méritent de vendre des palettes de palettes de disques, on vous aura prévenus, passer à côté sans y prêter attention et se prétendre en même temps fan de rock, de blues ou de hard serait tout simplement criminel. Si adeptes de la fessée, prévoyez ensuite un concert (Everyone is hot everyone is electric !!), vous n’en reviendrez pas. Nous, on y est toujours. Pour toujours ?
La production est mortelle, l’emballage top classe, il inclut aussi les paroles et un documentaire vidéo : « In studio with DÄTCHA MANDALA » a été tourné pour l’occasion, agad’ dessous :
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
Ne partez pas sans avoir "aimé la page", retrouvez tous les articles, vidéos et reportages sur votre mur. Soutenez Nawakulture en vous abonnant à la page Facebook et en partageant les chroniques.