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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Bouleversé comme beaucoup par la British Invasion des BEATLES, STONES et KINKS, le futur Alice Cooper écume un paquet de formations avant de valider ce nom - qu’il adoptera pour lui-même - pour son groupe en 1968.
Les ALICE COOPER sont repérés par Frank Zappa en personne qu'il signe sur son label pour les deux premiers albums 1 mais c'est aux côtés du jeune producteur Bob Ezrin que le groupe enregistre toute une série des suivants, tous des cartons à commencer par Love it to Death dont est issu le célébrissime single I’m eighteen que les concerts les plus extravagants vont aider à propager à travers tous les États-Unis et au-delà puisque le groupe visite la France dès 1971.
La route du succès conduit le groupe à la rupture, Alice Cooper, l’homme, ne sera désormais que le chanteur star d'un groupe aux ordres ou presque et entame une carrière solo qui sera ponctuée par d'innombrables changements de personnel mais aussi de territoires musicaux. Ce n'est qu'au milieu des années 1980 qu’Alice Cooper reviendra vraiment hanter le hard rock, cette fois-ci connoté glam, puis n'hésitera jamais plus à surfer sur toutes les vagues que le commerce lui propose sans pour autant perdre son identité.
L’auguste bonhomme entouré d’un groupe d’enfer tourne toujours, et c’est peu dire que le moment live avec lui reste réellement exceptionnel.
Dans ce volume, la saga aborde le chapitre shock rock.
À suivre SEPULTURA
63 pages illustrées en couleurs, 9,99 €
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