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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Il y a dans le groove du terrible Strutter ou sur Deuce ce qui fait le succès de KISS depuis des siècles
auprès de milliards de fans prêts à encaisser la moindre excentricité des quatre clowns pas beaux : de la grosse gratte mais aussi un groove qui balance sec, mention spéciale au batteur Peter Criss, et des refrains avec parfois des chœurs à la limite du supportable que l’on ne sait pas trop comment prendre tant le sucre glitter pop est parfois indigeste (Nothin’ to lose). Les titres qui cartonnent un peu plus (Firehouse, Strutter, Cold gin, 100 000 years…) restent quand même de très bons morceaux de rock seventies. Sans pour autant déclencher ici une quelconque hystérie, ça doit être l’effet maquillage de foire et paillettes, voilà, rien de méchant, juste une allergie à ce qui brille. Et la plus exaspérante fin de disque de l’histoire de l’univers !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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