Chroniques vinyles
20
Nov
2000

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Bienvenue sonne comme une belle ironie devant cette galette sombre et glaciale.

Si oui, Tout est nuit, celle-ci se révèle particulièrement noire et dangereuse, l’orage (d’acier) peut tonner à tout moment, les chasseurs-bombardiers piquer soudain et ne laisser après leur passage que la désolation que saisit très bien J. M. Dauvergne dans son travail d’illustration. La Stuka dance (collaboration avec LES JOYAUX DE LA PRINCESSE) s’apparente plutôt à une symphonie mêlant orgues de Staline et laminoirs d’usine, martiale et menaçante comme tout le monde l’aura deviné. La recette est la même pour le reste des morceaux, les amateurs d’industriel qui marche au pas de l’oie devraient clairement tenter une écoute. 100 copies en cire grise, le reste en noir.

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