Chroniques vinyles
25
Juil
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Avec une discographie bourrée de compilations sans intérêt,

il est difficile de faire un choix quand il s’agit d’offrir un disque à un ami. Heureusement, Nawakulture est là pour dépanner les indécis.

D’abord ce double a une pochette macabre qui sied bien à l’entreprise du hard’n’heavy simili-vaudou quand tant d’autres poussent BLACK SABBATH vers le satané classic rock alors que l’on pencherait, pour le plaisir bien heavy-demment, vers le satanic hard.

Ensuite, suite à des droits emberlificotés à cause des quarante-seize changements de line-up du groupe, autant choper des compilations correspondant à des époques, voire à un chanteur (il y a l’embarras du choix et quasiment que du bon malgré les contrastes).

Ici, les fans du désormais chevrotant Ozzy Osbourne peuvent aller ici les yeux fermés, les 6 + 6 + 6 titres dispatchés sur ces quatre faces vont d’hymne en hymne, au hasard Paranoid, Warpigs, Iron Man mais pour exposer au bon peuple nos goûts personnels, également Supernaut, Behind the wall of sleep, Electric Funeral, After forever (non mais quel titre fabuleux !) ou Killing yourself to live, yeeehaaah ! 

Cette pochette ouvrante offrira aussi à son récipiendaire un exemple iconographique du bon goût chez les hippies du rock’n’roll responsables de quelques-uns des albums les plus géniaux de notre musique préférée (dont un max est évoqué dans nos pages, clique sur les mots en rouge sang tudieu !).

Que ces quatre bonhommes en soient remerciés pour l’éternité par les secrètes divinités de l’Acouphène.

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garage pop yé-yé chanson française