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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Les velléités des britanniques à fondre dans un même creuset pop, rock, hard et un soupçon de prog sur leur premier album
(voir QUEEN [Uk] S/t (EMI Recs) 1973 Re-release 1992) se voient prolongées ici. Sauf que le début du disque se fait particulièrement perché (Father to son, The Loser in the end, White Queen etc) et crac, stop quand tout d’un coup retentit Ogre battle, premier titre d’une série de six composée par Freddie Mercury, on passe au lourd et au puissant, grosse guitare, basse de plomb et batteuse qui mitraille quand le besoin s’en fait sentir, tout est enfin pour le mieux dans le meilleur des mondes. A part le chouette Seven Seas of Rhye, pas de méga tube sur cet album sauf que l’on sent un groupe en train de construire un univers à lui, s’affranchissant rapidement des influences flagrantes sur le premier album précédent qui évoquait pour beaucoup une formation encore très jeune. On plaisante beaucoup moins ici avec des exercices solides comme The Fairy Feller’s Master-Stroke ou The March of the black Queen qui passent tranquillement de la solennité à la comptine comme ça hop, annonçant pour le coup un futur envol vers l’orchestral et le théâtral tout en restant ROCK. La machine est lancée !
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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