Chroniques vinyles
22
Juil
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Ne nous méprenons pas, 1984 ne contient pas que des mauvais titres 1, et Panama, troisième single de l’album, en est la preuve éclatante.

Construit sur un gros riff évoquant un AC/DC qui serait enfin revenu au tempo baston, Panama permet à tout le monde de montrer ses biscottos : Eddie en met plein les oreilles, Alex et Michael tapent leurs fûts et cordes comme des sourds tandis que David Lee Roth rappelle à l’envi qu’il possède un gosier à l’épreuve de l’usure. Un groupe absolument inaccessible dans d’hautes œuvres de ce genre…

Surprise, c’est le heavy Girl gone bad qui a été choisi pour face B, encore un exemple de hard incisif et entraînant, comme savaient le commettre aussi un DEF LEPPARD de la grande époque, tout en y ajoutant cette technique intouchable de Maître Eddie, dont les inclusions solo sont tout simplement géniales et ne gênent pas la compréhension par une démonstration reloue, un grand bonhomme que voilà, on ne se remettra jamais du split à venir…

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