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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Si dès les premières mesures du disque tu n’as pas reconnu le guitariste,
zappe donc cette chronique.
Sinon, VAN HALEN offre avec ce court album d’à peine plus d’une demi-heure un nouveau recueil de hard rock groovirtuose mené par la voix chaude de David Lee Roth. La rythmique monstrueuse de Michael Anthony et Alex Van Halen comme coffrage blindé, la guitare de Maître Eddie virevolte dans tous les sens, provoquant toujours de par le monde des bûchers de guitares, les apprentis renonçant soudain à l’école de musique pour se mettre au crochet.
Si death-y-dément on ne retrouve pas la folie furieuse du premier album des américains 1 sur les disques suivants, on ne peut que s’incliner devant tant de savoir-faire et d’énergie, la production de Ted Templeman est de plus au top, bombarde comme il se doit et fait de Fair warning un très bon album de hard rock fun et entraînant (à part l’expérimental Sunday afternoon in the park, sombrissime et annonçant une future importance accrue des sonorités trafiquées mais aussi des dissensions internes, déjà à un stade avancé), on se demande juste qui a choisi cette pochette qui ne va pas vraiment dans le même sens.
1 pour retrouver les chroniques concernant le groupe, clique donc sur VAN HALEN.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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