En noir et blanc ou en couleur, cette petite boutique expose deux univers bien distincts :
Côté pile, le dessinateur / graphiste britannique Paul Lappin pratique la reproduction minutieuse d’architectures et de paysages locaux avec un œil précis et un intérêt certain pour son sujet. Comme chez celui d’un Robert Crumb qui crayonne volontiers les détails de ce patrimoine, il y du charme dans l’art de Paul, dans la saisie de l'ancien, du « gentiment » usé par les éléments qui caractérise les toits et murs du coin, l'homme propose d’ailleurs ses services si vous voulez voir votre maison reproduite sur papier. Et ne fait pas que ça, clique donc :
Côté face, Amandine manie l’explosion de couleurs, attire l'œil dans son vif, le rêveur et le conscient riment avec la poésie d’une vie moderne où tout n'est peut être pas beau, où les dangers s'accumulent alors que les roues du progrès écrabouillent tout dans leur jeu de crans infernal. L’homme avec un petit h a depuis longtemps renoncé à ses doigts coincés dans la machinerie, ne reste-t-il que le Carpe diem pour oublier les piranhas ? Mon cœur balance… En tout cas, on n’Ar(de)mande. Même nous les troglodytes avons besoin de couleur !
Ne partez pas sans avoir "aimé la page", retrouvez tous les articles, vidéos et reportages sur votre mur. Soutenez Nawakulture en vous abonnant à la page Facebook et en partageant les chroniques.