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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Killing machine 1 était un bon titre mais va savoir pourquoi, celui-ci, Hell bent for leather, a de la gueule aussi.
Peut-être même plus. Bon enfin, il fut choisi pour le marché américain tandis que le menu se voyait augmenté, placé pile entre Burnin’ up et Killing machine, du morceau The Green Manalishi (with the two-pronged crown), une reprise pour le moins musclée du FLEETWOOD MAC de l’âge d’or (celui de Peter Green, guitariste virtuose tout juste barré des BLUESBREAKERS de John Mayall où il remplaça Eric Clapton), avant que ce fabuleux groupe de blues britannique ne dégénère en une insupportable entité popoïde.
En ce qui concerne ce cinquième album de JUDAS PRIEST en lui-même, la couverture et le reste sont quasiment identiques, cette réédition des années 1990 a toutefois été remasterisée.
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Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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