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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Aaaaargh !
Ce groupe ne s’arrêtera-t-il donc jamais de livrer des joyaux de hard rock ?
Le morceau-titre qui ouvre ce troisième disque studio 1 donne le ton, Ronnie Dio est au top, Blackmore itou et avec une équipe comprenant Cozy Powell à la batteuse, Bob Daisley à la basse et David Stone au clavier, RAINBOW botte le cul à la majorité des formations en activité avec des compositions bourrés de riffs dingues, d’ambiances épiques et de mélodies vocales à tomber : Lady of the lake, L.A. connection, Gates of Babylon (aaaaaargh !!!), Kill the king (re-aaaaaargh !!! La naissance du heavy / speed metal mélodique ?), The Shed, Sensitive to light ou la jolie ballade Rainbow eyes, sans déconner, voudriez-vous jeter quoi que ce soit de tous ces hymnes ? Incontournable, comme les précédents, un point c’est marre. Et made in France en plus (au château d'Hérouville, ouais les potes, Normandie über alles !!).
Pochette ouvrante et insert avec les textes à apprendre par cœur avant de passer l’arme à gauche et rejoindre le chœur, céleste ou pas, du seigneur Ronnie.
1 pour les précédénts, précipitez-vous sur RAINBOW [Uk] Ritchie Blackmore’s Rainbow 12’’ (Pathé Marconi / EMI) 1975, RAINBOW [Uk] Rainbow rising 12’’ (Polydor) 1976 et bien sûr le monstrueux live RAINBOW [Uk] On stage double 12’’ (Oyster) 1977.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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