Chroniques vinyles
12
Aoû
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

L’écart entre chaque album de DEF LEPPARD 1,

bien que toujours dument justifié (après le bras de Rick Allen, c’est cette fois la vie de Steve Clark qui disparaît en janvier 1991, l’album lui sera d’ailleurs dédié…), tient du pas d’autruche. Pas moins de cinq ans auront cette fois été nécessaires pour accoucher d’un successeur au multi-platine Hysteria (1987).

En attendant, le single Let’s get rocked déboule fin mars 1992 avec une formation à quatre, le nom du nouveau guitariste n’ayant pas encore été annoncé. Et d’emblée, toutes les craintes quant à un morceau centré autour d’un hard pop et synthétique sont avérées, et même si Let’s get rocked est malgré tous les artifices un chouette morceau qui met la pêche, le fan du Léopard Sourdingue vintage ne se retrouvera sûrement pas là-dedans, même si la face B contient une chouette reprise d’Only after dark (un titre du premier album de Mick Ronson, comparse et redoutable six-cordiste de David Bowie, Lou Reed, Ian Hunter ou encore Bob Dylan) et une version live de Too late for love (from Pyromania et enregistrée en 1988 à Denver).

L’album Adrenalize sera-t-il de la même teneur tout du long comme ce Let’s get rocked, ici servi sous forme de joli picture 12'', le laisse présager ?

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