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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Sur un tempo bien appuyé par une batterie au son qui claque et une basse qui balance,
le plus célèbre morceau de l’histoire du western dit spaghetti est ici livré en version dansante à souhait, pour ne pas dire rock’n’roll à la SHADOWS s’il n’était pas ce souffle dramatico-épique si prenant. Les cris de chat huant sont au placard mais de gros chœurs graves jouent les ponctuations burlesques (hué-oh !) entre les parties d’harmonica, de trompette et d’ocarina.
En face B, même tarif avec un March with hope guilleret et martial à la fois, la caisse claire guidant allegro tout ce petit monde vers la piste de twist avec une bizarrerie toute cartoonesque, une stridence pas forcément désagréable et cet univers aux sonorités death-y-dément uniques, même quand Morricone lui-même n’est pas à la baguette.
Un disque de chevet depuis notre plus tendre enfance, tellement plus fort que n’importe quelle bande originale de dessin animé… Moins de cinq minutes de bonheur absolu.
Et tant qu'à y être, une autre chronique, celle du film ==> Le Bon, la brute et le truand de Sergio Leone (avec Clint Eastwood, Eli Wallach…) 1966.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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