Chroniques vinyles
01
Juil
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Arborant une couverture fabuleuse pour le fan de cinoche Bis destroy et simultanément si fidèle à la personnalité du gunophile Nugent,

Weekend warriors, c’est d’abord son personnage principal, dont l’image ou la tronche occupent toute la pochette mais aussi la quasi-totalité de la pochette intérieure où le casse-couille de service s’exhibe avec enfants, chiens, guitares, voitures et flingue, bien sûr, n’ayant pas entre-temps renoncé à devenir un cowboy infréquentable.

Ce disque recèle une fois de plus de morceaux où la guitare se taille heavy-demment la part du lion, on trouve cependant bien moins de compositions mémorables que d’habitude, la folie d’antan se voit même diluée dans des eaux bien plus mélodiques et commerciales, voire même presque…synthétiques (argh !!!) et on commencerait presque à se dire que le double live précédent 1, pourtant sorti en janvier de la même année, a mis fin à l’époque indispensable du Nuge, et peut-être que le fait de saborder lui-même sa formation (seul le batteur Cliff Davies est toujours à bord) n’était pas une si bonne idée que ça… Certains trouvent en Weekend warriors un pic, pour nous ce serait plutôt le clair début de la fin. Les goûts, tout ça quoi…

Bon, sinon, rien de tout cela n’empêchera Nugent de faire un énième carton dans les charts sur le continent nord-américain, question d’habitude… Ce sera le dernier. 

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