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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Genre: Mad Max vingt-huit jours plus tard...
Scénar: un virus affreusifère s'empare de l'Ecosse et élimine une grande partie de la population. Pour empêcher l'horreur de proliférer, une enceinte infranchissable bâtie en vitesse par les autorités condamne la population à mort. Enfin le croit-on jusqu'au jour où quand le virus réapparaît en dehors de la zone on découvre que des gens ont survécu à Glasgow. Qui dit survivants dit antidote, on envoie donc une équipe récupérer le moyen de sauver, genre, le monde. Dites ça sentirait pas un peu le guêpier là non ?
Croisement bourrin entre Mad Max, New York 1997, Vingt-huit jours plus tard et d'autres épisodes post-apocalyptiques, ce Doomsday ne fait pas dans la dentelle, pas besoin de passer quatre heures sur les prétentions philosophiques du réalisateur, ça gicle, ça décapite, ça frit des mecs en vue d'un bon dîner, des scènes hilarantes ainsi que d'autres peu ragoûtantes attendent le spectateur qui est déjà posé, fion sur le canapé, attendant fiévreusement le film bien baston de la semaine binouze fraîche on ze téibeul. Pas subtil mais franchement marrant.
© GED Ω - 04/04 2010
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