Fanzines
25
Oct
2018

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Au vu du nombre de points communs entre Rai et votre non-serviteur,

il est tout à fait étonnant de ne faire la découverte de ce chouette fanzine que si tard, si près de la (en)fin du monde. Avec un peu de bol on trouvera bien d’autres numéros, merci en tout cas à M’sieur Kraspek pour la transmission postale de la chose, un point de karma top cool à ajouter à la longue liste.

Donc, Rai cause comme il écrit, à moins que cela ne soit le contraire, avec un putain de stylo et pas un clavier, particularité déstabilisante au départ et donc forcément une bonne surprise, et évoque comme Nawakuture son amour pour les voyages avec du bruit, de la nature et de vieilles pierres au bout (et même parfois qu’y a tout au même endroit), et le bougre fait ça bien, avec la dose de sarcasme règlementaire chez les gens de bonne famille (né à Vichy, l’auteur de ces lignes s’étonne encore des surprises de l’Auvergne).

Le top, c’est la collision de goût entre punk et metal donc nous sommes zossi un spécialiste, et cette manie de découper les programmes télé pour leur faire dire n’importe quoi dans la joie et la bonne humeur, on préfèrera toujours ça à d’inutiles palabres de politicards à crête ou de philosophes du Chaos tout de cuir vêtus.

Des comptes rendus de concerts destroy (BAKOUNINE ouaaaaais, Hellfest beeeeurk), des chroniques anachroniques et loufoques (LES ROUTIERS PINARDIERS, ouais mon con !), une interview des bien peignés PROSTITUTES, une tribune hyper informative au sujet de l’électrosensibilité (en fait on dit E. H. S., voir Habitats en Sous-France de Geneviève Bouilloud ), un super carnet de route written in Scotland et un horoscope comme tu n’en verras jamais ailleurs. Top.

Trop chouette couv’, on en veut une comme ça pour Akhatizine #2 !

56 pages A5 photocopiées

Les mots-clés :

Quelques chroniques en vrac