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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
AC/DC touche le fond avec cet album / fond de tiroir franchement pas reluisant.
Déjà que le précédent Fly on the wall ne volait pas très haut au-dessus des pâquerettes, là c’est le pompon... Titre à titre : le faiblard Who made who ouvre le bal avec un refrain à l’américaine stressant, une rythmique bas du front, je passe. You shook me all night long m’a toujours fatigué, c’est le morceau qui suit. D. T. est un instrumental incongru franchement pas indispensable, mou du fion. Sink the pink est issu de Fly on the wall, pas très fin mais efficace avec un refrain accrocheur. Ride on, superbe blues, un peu au milieu de nulle part, seul morceau avec Bon, what’s the fuck ?! Hells bells, un classique intouchable. Shake your fondations : encore un morceau de l’album précédent, pas un brûlot mais un gros rock de bûcheron. Chase the ace, deuxième inédit avec D. T., déboule et surprend par son côté enlevé et rentre-dedans. Et on finit, comme pour les concerts avec le grand For those about to rock. Franchement si le film Maximum overdrive de Stephen King (dont ce disque est la B. O.) est un nanar rigolo, ce Who made who ne l’est même pas.
Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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