Chroniques vinyles
20
Mai
1999

Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note !

Et c’est reparti pour Ted Nugent l’année suivant le premier album solo 1 :

une guitare énorme, une section rythmique massive (ce son de basse fait terriblement plaisir à entendre) et un invité de poids au chant : Meat Loaf. Le « tas de viande » n’est pas là par hasard, l’acolyte Derek St. Holmes ayant signifié au Nuge qu’il ne pouvait plus le supporter après une très longue tournée, sans parler de son ressenti quand à la production de leur musique par Tom Werman. La vie de groupe…

En attendant, les Dog eat dog, Free for all, Turn it up (et son clin d’œil zeppelinien), Street rats ou les speed Hammerdown (argh !) et Light my way sont autant de démonstrations que le hard rock américain cassait la baraque à l’époque (ce disque sera rapidement certifié platine) et si certaines velléités mélodiques pointent leur pif ici et là (Writing on the wall, la ballade Together et dans une moindre mesure I love you so I told you a lie…), c’est pour mieux taper, et plus fort encore, sur le citron de l’auditeur.

Et quand on dégage l’énergie d’un tel groupe, la concurrence peut bien aller se pendre, pas grand monde n’est de toute façon de taille.

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