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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
Certitude, tristitude…
Ces affreux claviers qui introduisent le mollasson Out in the cold l’annoncent comme autant de trompettes menaçantes : on n’est pas près d’approcher de la cheville du déjà imparfait mais over-classique Unleashed in the East de 1979 1. JUDAS PRIEST venait de tenter la conquête des radios étatsuniennes avec Turbo, et ce live fut enregistré dans la foulée l’année de sa sortie (1986) à Dallas et Atlanta et sorti l’année suivante en audio et vidéo.
On est bien sûr content de se manger les hymnes (Metal gods, Breaking the law - un poil rapide comme pour s’en débarrasser -, Some heads are gonna roll, Electric eye, Freewheel burning, You've got another thing comin'…) mais le reste du menu nous laisse complètement indifférent, pour ne pas dire amer. Toujours la même histoire des goûts et des couleurs. Les fans du PRIEST le plus heavy resteront forcément sur leur faim. Et le son du public semble singulièrement fort. Non ?
Cette réédition de 2001, dans le cadre de la collection des douze Remasters du groupe contient tout du même du supplément costaud, tiré de différents concerts : le fabuleux Screaming for Vengeance (aaaaaargh, capté en décembre 1982), Rock hard ride free (yeah, why not, mai 1984) et Hell bent for leather (re-aaaaaargh mai 1986). Pour une fois, on applaudit les bonus à tout rompre !
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Certaines images peuvent choquer les âmes sensibles.
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