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Les étoiles évaluent le plaisir ressenti à la découverte des œuvres, rien à voir avec une quelconque note ! |
« Si les familles ont su traverser les siècles, c’est parce que nous étions les seuls à connaître les règles du jeu. Les dépositaires de la loi qu’il ne faut surtout pas respecter ».
Peu avant la chute de l’empire romain, les neuf familles se mettent d’accord pour favoriser l’émergence du christianisme pour conserver le pouvoir et tirer les ficelles à leur guise. Le mécréant Scorpion exerce quelques siècles plus tard le métier délicat de voleur de reliques qu’il refourgue à des dévots sans cervelle. Mais le secret de sa naissance en fait un ennemi juré du cardinal Trebaldi (qui n’est pas sans rappeler la tête que l’on se fait de notre Richelieu national dans les bouquins de Dumas) qui veut sa mort coûte que coûte.
Un bon titre de cape et d’épée que ce Scorpion qui rappelle les grandes heures du genre entre Zorro (celui de Tessari, avec Delon ?), Cartouche et les autres avec des dessins superbes, des couleurs somptueuses et un scénario très prometteur, on est partant pour lire la suite de ce volume qui installe surtout décor et personnages.
48 pages en couleurs
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